Oka Dance

Patricia Ocana Joyeux anniversaire, Oka Dance

Pas de strass, pas de paillettes pour souffler les 10 bougies de l’école qui célèbre tout au long de l’année les danses du monde, mais une multitude d’amis et de fidèles qui ont entamé en chœur, aux côtés de la Présidente, Patricia Ocana, un joyeux anniversaire.

Patricia Ocana crée son école dans la commune voisine, Saint Victoret. Mais celle-ci est majoritairement fréquentée par des Marignanaises. Patricia décide alors, quelques années plus tard, de se rapprocher de ses élèves et prend ses nouveaux quartiers dans la zone de la Palun, à Marignane. Aujourd’hui, Oka Dance a doublé le nombre de ses adhérents, et intègre aussi de nouveaux locaux, à deux pas des précédents, plus spacieux «ce qui nous permet d’étoffer le planning des cours» déclare la présidente, ravie. Il faut dire que la danse, Patricia l’a quasiment toujours pratiquée. Elle se rend au Brésil pour parfaire sa formation, fréquente les écoles de samba de Rio à Bahia. Mais si la danse brésilienne coule dans ses veines, Patricia avoue aussi une grande attirance pour les rythmes africains. C’est en Guinée qu’elle effectuera son apprentissage. Deux passions qu’elle partage avec ses élèves marignanaises, entre autres. Car Oka Dance varie les genres et multiplie les stages, y compris dans les facultés, de lettres à Aix en Provence, de Luminy à Marseille ainsi qu’avec les membres de l’Age Bleue, association marignanaise et participe régulièrement à des animations. Nous pourrons d’ailleurs très prochainement les voir danser au carnaval à Gignac la Nerthe puis à Marignane, avant de retrouver tous les acteurs de l’école, petits et grands, sur la scène du théâtre Molière pour un tour du monde des danses à l’occasion du traditionnel gala de fin d’année.

Le goût de la danse se transmet aussi de fille en mère

Il y a dix ans, Sandrine avait inscrit sa fille, Charline, alors âgée de 7 ans, à des cours de danse. «Je croisais d’autres mamans qui fréquentaient l’école. Au fil des discussions, je me suis laissée convaincre» avoue celle-ci. Depuis, mère et fille fréquentent assidument l’école. Charline a appris la danse africaine, le jazz, et s’essaye actuellement au french cancan tandis que Sandrine s’adonne à l’africain, au tahitien, à l’aéro-boxing.

Katell Robert

 

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